Les céramiques sculptures de Chan Gauth sont une ode à la “Pachamama” la Terre mère en grande souffrance et dont il qu’il est urgent d’en protéger tous les êtres vivants. Ses oeuvres sont de véritables sanctuaires pour les insectes que ce soit des scarabées, des scorpions, en passant par les araignées ou autres espèces.
Marinette Cueco, dont les compositions à partir de récupérations de végétal et de minéral, nous ramènent à une beauté suspendue entre espace et temps. Sa récente installation d’ardoises présentée ici, fait suite à sa dernière exposition au Laac Dunkerque.
La puissance des peintures, entre botanique et ethnologie, de Dominique Rousserie tient moins de leur grande taille que de la force d’évocation des plantes qu’il représente et qui conduisent au sacré au travers des sublimes visions qu’elles engendrent.
Les peintures grands formats de Nadia Schmidt dans leur profusion de détails, voir sous leur apparente forme d’hyperréalisme, une fois que le regard s’y accroche, il est immédiatement aspiré et retenu au plus profond d’un enchevêtrement végétal complexe et vibrant.
Solange Triger avec la série des “Jungles” nous ramène brutalement à l’urgence de la réalité des désastres écologiques des forêts, conséquence des feux et de la déforestation partout sur la planète. Plus largement à travers ses peintures c’est un cri d’alerte sur la fragilité de la nature face à l’activité humaine.